Yann Eliès nous livre ses motivations. « D’un point de vue personnel, c’est quand même quelque chose de boucler un tour du monde, qui plus est en solitaire. On sait que si on y parvient, on fait vraiment partie d’une petite minorité d’humains à en être capable. Bien sûr, c’est une satisfaction éphémère puisqu’au bout de quelques jours et un petit sasse de décompression, on redevient quelqu’un de tout à fait normal. Enfin je crois… »