Hier, nous avons listé les atouts du 60 pieds Quéguiner – Leucémie Espoir. Aujourd’hui, nous avons choisi de nous pencher sur ceux de Yann Eliès. Et le mieux placé pour nous en parler n’est-il pas l’intéressé lui-même ? A vous de jugez.
L’expérience du large
« Je commence à me sentir en phase avec ma machine. Longtemps, je suis resté dans une phase de découverte. C’était encore le cas, lors de la Transat Jacques Vabre courue en double avec Charlie Dalin. J’ai, aujourd’hui, le sentiment de bien mieux la connaître, surtout grâce aux derniers stages du Pôle Finistère Course au Large auxquels j’ai participé à Port-la-Forêt. Comme je suis davantage dans la maitrise du support, j’ai forcément un peu moins d’appréhension. Pour le reste, j’ai mon expérience du large pour moi. Je pense être un bon marin et être capable de bien faire. »