Au programme : une grande course de 340 milles entre Belle-Ile, Ré et Yeu, des parcours côtiers d’une trentaine de milles au large des Sables d’Olonne. « J’ai hâte de rentrer dans le vif du sujet, de faire de la compétition pour de vrai et de voir ce que donne tout le travail réalisé ces derniers mois. Il y a un très joli plateau, avec 33 marins au départ, parmi lesquels beaucoup de nouvelles têtes. C’est de bon augure », assure la skipper du Figaro Bénéteau 3 aux couleurs du Groupe Quéguiner. « Les choses se préparent tranquillement. J’ai terminé les contrôles de sécurité obligatoires ce matin. Le bateau est prêt et je peux complètement me reposer sur Arnaud Dharinger, mon nouveau préparateur pour les derniers détails. Je peux ainsi me concentrer sur la météo. Hier, ça s’annonçait encore complexe mais plus les jours passent et plus les choses se clarifient. La situation devient plus stable et il y a moyen que la grande course (dont le départ est programmé ce mardi) ressemble à une épreuve de vitesse, avec pas mal de près, ce qui ne me dérange pas du tout car ce n’est pas un point faible. Au contraire, j’aime bien ça », terminé la navigatrice.