Ce samedi, alors qu’il continue de freiner pour éviter le plus gros du mauvais temps, il affiche des vitesses comprises entre 12 et 14 nœuds – Yann Eliès doit néanmoins composer avec des conditions de vent et de mer difficiles.
24 heures au moins à faire le dos rond
« Depuis la mi-journée, le vent ne fait que monter dans la zone où il se trouve. Il a beaucoup ralenti pour laisser passer le gros de la dépression devant lui et c’est le mieux qu’il pouvait faire pour s’assurer de rester compétitif pour le reste de la course. En ce moment, il traverse une phase un peu dure mais acceptable toutefois, même si, depuis la terre, il est difficile d’évaluer l’état de la mer », a indiqué Daniel Souben, son coach, précisant que le skipper de Quéguiner – Leucémie Espoir va devoir faire le dos rond jusqu’à demain après-midi au moins, avant de retrouver des conditions plus maniables.