Alors que le skipper anglais Alex Thomson a franchi l’équateur, hier soir à 20h05, dans un temps record dans l'histoire de la course (9 jours, 7 heures et 3 minutes, soit une journée et quatre heures de mieux que Jean Le Cam lors du Vendée Globe 2004-2005) et voit son avance régulièrement se construire dans les alizés de sud-est qui se renforcent, Yann Eliès, devrait se retrouver à son tour dans l’hémisphère sud en fin d’après-midi (aux alentours de 16h30 – 17 h).
La tête à l’envers en fin d’après d’après-midi
« Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on a laissé quelques plumes dans le Pot-au-Noir. On ne peut pas dire qu’il ait été très favorable pour nous. Reste que si on a perdu sur les premiers, en particulier sur Hugo Boss et ses quatre plus proches poursuivants, on a gagné sur ceux de derrière. Bien évidemment, cela reste une maigre consolation car 247 milles de retard, ce mercredi, sur le leader, c’est un peu sévère. C’est consécutif à la première semaine qui nous a fait perdre de précieux milles, la faute, notamment, à un problème de hook de grand-voile », a commenté le skipper de Quéguiner – Leucémie Espoir lors d’une vacation avec son équipe en fin de matinée.